Ce yaourt protéiné que vous pensiez sain est en réalité bourré d’additifs, selon 60 Millions de consommateurs

Longtemps perçu comme un allié de la nutrition, le yaourt protéiné s’invite de plus en plus dans les rayons des supermarchés. Pourtant, selon une enquête de 60 Millions de consommateurs, certains de ces produits sont loin d’être aussi sains qu’ils le prétendent. Le magazine alerte sur la présence massive d’additifs et de substances controversées dans plusieurs références très populaires.

Les dangers cachés dans les yaourts protéinés industriels

Les yaourts protéinés séduisent par leur promesse de santé et leur image sportive. Mais 60 Millions de consommateurs rappelle qu’ils sont bien souvent ultra-transformés, contrairement aux yaourts traditionnels. Leur fabrication industrielle inclut des ferments modifiés, une teneur en sucre élevée, et parfois une absence de réglementation claire sur la composition.

Ces produits laitiers, pourtant présentés comme des choix “santé”, contiennent des édulcorants, épaississants, émulsifiants… dont l’acésulfame-K, un additif controversé souvent utilisé dans l’agroalimentaire. L’enquête souligne que ces substances posent question, notamment sur leurs effets à long terme sur la santé.

Le magazine alerte également sur l’effet trompeur des étiquettes : entre le marketing sportif et les promesses nutritionnelles, il devient difficile pour les consommateurs de distinguer le vrai du faux.

L’image “sportive” du yaourt protéiné ne suffit pas

Présentés comme des encas adaptés aux personnes actives, les yaourts riches en protéines attirent un public soucieux de sa santé. On les trouve souvent à côté des yaourts skyrs, eux aussi appréciés pour leur apport en protéines.

Mais 60 Millions de consommateurs nuance leur intérêt : les fameuses “20 ou 25 g de protéines” mises en avant doivent être rapportées à un volume bien plus important qu’un yaourt classique. Finalement, la teneur réelle est comparable à un skyr standard, sans les excès d’additifs.

Derrière leur packaging moderne, ces produits se révèlent donc plus marketing que véritablement nutritifs. Le magazine appelle à la prudence et à la lecture attentive des étiquettes pour éviter les choix trompeurs.

Les deux marques de yaourt protéiné à éviter selon l’enquête

Parmi les produits épinglés par l’enquête, deux marques ressortent comme particulièrement problématiques. Lindahls Pro+ et Hipro sont toutes deux pointées du doigt pour la quantité d’additifs présents dans leurs yaourts protéinés.

Hipro, en particulier, propose aussi des yaourts à boire, soumis aux mêmes critiques que les versions en pot. Ces produits, très populaires en grande surface, doivent être consommés avec précaution, malgré leur image santé bien rodée.

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